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L’histoire de Loupi lighting a commencé avec un pixel dans un incubateur

L’histoire de Loupi lighting a commencé avec un pixel dans un incubateur

1976, Pionnier de la LED
C’est au concours Lépine à la Foire de Paris que Loupi révèle au grand public les premiers bijoux électroniques. Avec une LED alimentée par deux piles boutons et sertie sur une broche, le projet décroche la médaille de Vermeille et le prix du plus beau stand, le seul « électronique » à l’époque.

1977, Produire et vendre
Début de la fabrication en série avec le support d’un ingénieur rencontré au concours Lépine. Ce dernier développe le premier driver embarqué de LOUPI, installé dans un petit boîtier avec une seule pile bouton, un élévateur de tension et une LED : le Pin’s électronique était né ! les ventes commencent, c’est le tout début de l’activité commerciale.

1979, Naissance officielle de Loupi
Les choses devenant significatives, c’est l’année de l’enregistrement de la marque et de l’entreprise LOUPI Sarl

1980, Un florilège de créations
C’est une période expérimentale de productions, en France, de différents modèles de bijoux électroniques en petites séries et de beaucoup d’accessoires de scène faits sur mesure avec des LEDs de haute puissance. Boas Lumineux, costumier des vedettes, visons à LED en 1985 et 1986, badges spéciaux pour le spectacle, plastron LED et pistolet flash de Super héros, sabre laser d’Albator…et bien d’autres encore !

1986, Délocalisation et partenariats
L’entreprise renonce à fabriquer en France, le coût trop élevé de fabrication limite les ventes. L’industrie française est orientée high-tech, les usines du pays pouvant opérer la sous-traitance proposent un prix de fabrication en quantité qui est en fait le prix de vente de LOUPI…
Alors, suite à une rencontre avec une entreprise Allemande (EAG), la première délocalisation s’est faite à Taïwan en 1986. Par la suite des millions de pin’s LED sont vendus partout dans le Monde au travers de ce partenariat Franco-Allemand appuyé de la puissance industrielle taïwanaise. Ce moteur alliant créativité française et rigueur germanique a tourné pendant 30 ans et prouvé sa bonne formulation de l’Europe.

1990, Du bijou lumineux au marketing point de vente
LOUPI rentre dans le monde de la publicité ! C’est l’époque du « Marketing Point de Vente ». Les pin’s LEDs se sont diversifiés en badges publicitaires accroche œil et en circuits LED intégrés aux Publicités sur le Lieu de Vente (PLV). Là encore LOUPI est arrivé dans un marché à l’essor prometteur et c’est de nouveau des millions de LED qui seront embarquées, cette fois dans des publicités animées.
Ce nouveau souffle à poussé le développement de la technologie des microcontrôleurs et des puces « Chip On Board ». Une puce LOUPI est développée à Taiwan en 1995 avec les ingénieurs associés, ceci afin de pouvoir proposer des
effets lumineux et d’offrir un service sur mesure à toutes les demandes, une grande avancée. En 2004, LOUPI présidera le POPAI, syndicat qui réunit tous les industriels du marketing point de vente de France. La mission était faire rentrer l’institution dans le monde moderne en ébullition, la marche était lancée.

Pour la partie production, Taiwan est devenu trop cher dès le début des années 1990, parfait pour les puces mais l’entreprise fût contrainte de délocaliser la production de Taïwan à Shenzhen en 1992.

1998, Fiat Lux : l’aube d’une ère nouvelle
C’est l’année du miracle technologique ! Grâce aux travaux couronnés d’un prix Nobel (S. Nakamura), LOUPI reçoit les premières LED blanches de chez NICHIA, l’intuition que c’était la nouvelle source de lumière était nette, promesse d’un avenir radieux. Après avoir commencé en tant que fabricant d’attrape-nigaud, pièges électroniques, accroche œil et oreilles pour « glorifier » les produits, l’entreprise envisage (enfin ?) de fabriquer des produits qui servent à quelque chose de « sérieux », éclairer pour voir !

2001, L’Odyssée de lumière
Suite aux découvertes récentes, le premier miroir lumière en source LED ajustable en température de couleur pour les points de vente Chanel est réalisé par LOUPI puis présenté au Japon et diffusé dans les magasins. Après une longue recherche visant à comprendre comment reproduire le plus fidèlement possible la lumière du jour et celle de la bougie avec les LED, c’est finalement le cluster RGBWY (Rouge, Vert, Bleu, Blanc, Jaune) qui a permis d’atteindre les objectifs et exigences du client en l’an 2000. Cette formule a été confirmée ensuite par les scientifiques de la communauté de l’éclairage en 2007 et reste aujourd’hui encore la solution pour la lumière LED artificielle la plus fidèle à la lumière du jour. Ces années-là voient la mise au point des premières lampes d’éclairage avec asservissement de la température de couleur comme le plafonnier « 150W LED2Soleil 2700K/6500K ». Celui-ci était commandé par infrarouge et réalisé avec une agence de design, il fut présenté en 2006 au public professionnel à Paris. La force de ce partenariat avec résidait dans l’alliance de ses compétences de créateur de luminaires avec le savoir-faire électronique. C’est aussi avec cette agence que LOUPI a réalisé les LEDs de la Lampe de table de vente pour l’industrie du luxe : une lumière d’ambiance qui rend les femmes belles et un rayon de soleil qui vient éclairer uniquement les bijoux disposés sur un satin noir… Cette période fut elle aussi, riche en expériences.

2008, Relocalisation, innovation et nouveau marché : l’éclairage
La question de la relocalisation des productions se pose, il apparaît possible de fabriquer en France à nouveau. Pendant ce temps, la R&D LOUPI tourne à fond avec entre 5 et 10% du CA dépensés dans ces activités. Les premières LEDs de puissance 1W sont disponibles, beaucoup de prototypes de systèmes LEDs complets sont mis au point, et après de nombreux essais en 2008 sort le « SpotC ». C’est un concept de coque aluminium autour de la LED avec une rotule magnétique originale et des optiques pour moduler le faisceau. Un nouveau partenariat réalisé avec l’association d’un scénographe et créateur lumière (conseiller pour une grande marque du Luxe) ainsi qu’un concepteur lumière ont mis en évidence avec LOUPI les paramètres de base à considérer : orientation, optique, éblouissement. La formule appliquée, le « SpotC » est devenu le premier design de luminaire commercial qui a été un succès ! C’est également avec les premières lines (luminaire fin rectiligne, linéaire), remplaçantes des tubes fluos, que l’entreprise est définitivement rentrée dans le monde de l’éclairage, troisième marché de son histoire.

2010, French Fab et croissance
Tous les signes sont la, le marché de l’éclairage LED décolle. Loupi fait évoluer sa structure pour faire face, ce qui va permettre à l’entreprise de créer, produire et gérer plus efficacement pendant la période de croissance qui va suivre et voir son effectif multiplié par 6 en 8 ans.

2014, Changement d’échelle
Fabriquer en France oui, mais à Ménilmontant (l’ancien site de l’entreprise à Paris) ce n’est pas possible ! Alors toute la nouvelle production est relocalisée à Pantin dans un premier local industriel avec le soutien de nombreux sous-traitants de la région et de la France entière. L’entreprise se dote de la capacité de faire un produit de A à Z, sans dépendre de « l’usine du monde » et rejoint à nouveau La French Fab, 30 ans après avoir délocalisé.

2016, Déjà 40 ans d’innovations
LOUPI est récompensé de la médaille d’honneur du concours Lépine pour marquer les 40 années de l’entreprise agile qui est née à ce concours et demeure en pleine forme a l’heure actuelle, la durée fait la preuve !

2018, Industrialisation
Toujours à Pantin, LOUPI s’installe dans une usine plus grande que la précédente et achète des machines automatisées pour la production en série des spots. La dimension industrielle se précise avec maintenant 40 employés qui forment une vraie équipe en perpétuant la tradition d’excellence avec les fidèles clients de l’entreprise qui sont pour beaucoup de la filière du Luxe.

2022, Nouveaux défis à relever
A ce jour, LOUPI s’est concentré sur sa nouvelle mission d’éclairage, l’offre est maintenant très large et la recherche des nouvelles solutions en lien avec le marché continue sans cesse.
Les nouveaux enjeux sont la qualité de la lumière, la durabilité, la réparabilité, l’efficacité énergétique, l’empreinte environnementale et la connectivité pour profiter pleinement du « Human Centric Lighting » ainsi que de la maîtrise de la température de couleur, le tout dans une ambiance
low tech, sacré challenge !

Cette connectivité permettant le contrôle, l’asservissement et le réglage des sources doit pouvoir être prise en main par tous. Il est question de simple tech, il s’agit de ne pas générer des fabrications de quantités de circuits inutiles entraînant des tonnes de matériel à recycler, des coûts de maintenance et de mises à jour. La technologie de bon sens, facile d’accès simple et naturelle, réparable et durable, nous en avons besoin, c’est une évidence.

 

Demain
Je vois dans l’avenir des luminaires bienveillants qui soignent, des lumières de bien être ajustées aux saisons, au cycle circadien et à notre humeur pour vivre dans un environnement qui favorise la bonne santé et l’accomplissement des humains.

L’aventure continue, que le Gallium soit avec vous !

Fabien Poutignat, Président-Fondateur

 

1976, Pionnier de la LED
C’est au concours Lépine à la Foire de Paris que Loupi révèle au grand public les premiers bijoux électroniques. Avec une LED alimentée par deux piles boutons et sertie sur une broche, le projet décroche la médaille de Vermeille et le prix du plus beau stand, le seul « électronique » à l’époque.

1977, Produire et vendre
Début de la fabrication en série avec le support d’un ingénieur rencontré au concours Lépine. Ce dernier développe le premier driver embarqué de LOUPI, installé dans un petit boîtier avec une seule pile bouton, un élévateur de tension et une LED : le Pin’s électronique était né ! les ventes commencent, c’est le tout début de l’activité commerciale.

1979, Naissance officielle de Loupi
Les choses devenant significatives, c’est l’année de l’enregistrement de la marque et de l’entreprise LOUPI Sarl

1980, Un florilège de créations
C’est une période expérimentale de productions, en France, de différents modèles de bijoux électroniques en petites séries et de beaucoup d’accessoires de scène faits sur mesure avec des LEDs de haute puissance. Boas Lumineux, costumier des vedettes, visons à LED en 1985 et 1986, badges spéciaux pour le spectacle, plastron LED et pistolet flash de Super héros, sabre laser d’Albator…et bien d’autres encore !

1986, Délocalisation et partenariats
L’entreprise renonce à fabriquer en France, le coût trop élevé de fabrication limite les ventes. L’industrie française est orientée high-tech, les usines du pays pouvant opérer la sous-traitance proposent un prix de fabrication en quantité qui est en fait le prix de vente de LOUPI…
Alors, suite à une rencontre avec une entreprise Allemande (EAG), la première délocalisation s’est faite à Taïwan en 1986. Par la suite des millions de pin’s LED sont vendus partout dans le Monde au travers de ce partenariat Franco-Allemand appuyé de la puissance industrielle taïwanaise. Ce moteur alliant créativité française et rigueur germanique a tourné pendant 30 ans et prouvé sa bonne formulation de l’Europe.

1990, Du bijou lumineux au marketing point de vente
LOUPI rentre dans le monde de la publicité ! C’est l’époque du « Marketing Point de Vente ». Les pin’s LEDs se sont diversifiés en badges publicitaires accroche œil et en circuits LED intégrés aux Publicités sur le Lieu de Vente (PLV). Là encore LOUPI est arrivé dans un marché à l’essor prometteur et c’est de nouveau des millions de LED qui seront embarquées, cette fois dans des publicités animées.
Ce nouveau souffle à poussé le développement de la technologie des microcontrôleurs et des puces « Chip On Board ». Une puce LOUPI est développée à Taiwan en 1995 avec les ingénieurs associés, ceci afin de pouvoir proposer des
effets lumineux et d’offrir un service sur mesure à toutes les demandes, une grande avancée. En 2004, LOUPI présidera le POPAI, syndicat qui réunit tous les industriels du marketing point de vente de France. La mission était faire rentrer l’institution dans le monde moderne en ébullition, la marche était lancée.

Pour la partie production, Taiwan est devenu trop cher dès le début des années 1990, parfait pour les puces mais l’entreprise fût contrainte de délocaliser la production de Taïwan à Shenzhen en 1992.

1998, Fiat Lux : l’aube d’une ère nouvelle
C’est l’année du miracle technologique ! Grâce aux travaux couronnés d’un prix Nobel (S. Nakamura), LOUPI reçoit les premières LED blanches de chez NICHIA, l’intuition que c’était la nouvelle source de lumière était nette, promesse d’un avenir radieux. Après avoir commencé en tant que fabricant d’attrape-nigaud, pièges électroniques, accroche œil et oreilles pour « glorifier » les produits, l’entreprise envisage (enfin ?) de fabriquer des produits qui servent à quelque chose de « sérieux », éclairer pour voir !

2001, L’Odyssée de lumière
Suite aux découvertes récentes, le premier miroir lumière en source LED ajustable en température de couleur pour les points de vente Chanel est réalisé par LOUPI puis présenté au Japon et diffusé dans les magasins. Après une longue recherche visant à comprendre comment reproduire le plus fidèlement possible la lumière du jour et celle de la bougie avec les LED, c’est finalement le cluster RGBWY (Rouge, Vert, Bleu, Blanc, Jaune) qui a permis d’atteindre les objectifs et exigences du client en l’an 2000. Cette formule a été confirmée ensuite par les scientifiques de la communauté de l’éclairage en 2007 et reste aujourd’hui encore la solution pour la lumière LED artificielle la plus fidèle à la lumière du jour. Ces années-là voient la mise au point des premières lampes d’éclairage avec asservissement de la température de couleur comme le plafonnier « 150W LED2Soleil 2700K/6500K ». Celui-ci était commandé par infrarouge et réalisé avec une agence de design, il fut présenté en 2006 au public professionnel à Paris. La force de ce partenariat avec résidait dans l’alliance de ses compétences de créateur de luminaires avec le savoir-faire électronique. C’est aussi avec cette agence que LOUPI a réalisé les LEDs de la Lampe de table de vente pour l’industrie du luxe : une lumière d’ambiance qui rend les femmes belles et un rayon de soleil qui vient éclairer uniquement les bijoux disposés sur un satin noir… Cette période fut elle aussi, riche en expériences.

2008, Relocalisation, innovation et nouveau marché : l’éclairage
La question de la relocalisation des productions se pose, il apparaît possible de fabriquer en France à nouveau. Pendant ce temps, la R&D LOUPI tourne à fond avec entre 5 et 10% du CA dépensés dans ces activités. Les premières LEDs de puissance 1W sont disponibles, beaucoup de prototypes de systèmes LEDs complets sont mis au point, et après de nombreux essais en 2008 sort le « SpotC ». C’est un concept de coque aluminium autour de la LED avec une rotule magnétique originale et des optiques pour moduler le faisceau. Un nouveau partenariat réalisé avec l’association d’un scénographe et créateur lumière (conseiller pour une grande marque du Luxe) ainsi qu’un concepteur lumière ont mis en évidence avec LOUPI les paramètres de base à considérer : orientation, optique, éblouissement. La formule appliquée, le « SpotC » est devenu le premier design de luminaire commercial qui a été un succès ! C’est également avec les premières lines (luminaire fin rectiligne, linéaire), remplaçantes des tubes fluos, que l’entreprise est définitivement rentrée dans le monde de l’éclairage, troisième marché de son histoire.

2010, French Fab et croissance
Tous les signes sont la, le marché de l’éclairage LED décolle. Loupi fait évoluer sa structure pour faire face, ce qui va permettre à l’entreprise de créer, produire et gérer plus efficacement pendant la période de croissance qui va suivre et voir son effectif multiplié par 6 en 8 ans.

2014, Changement d’échelle
Fabriquer en France oui, mais à Ménilmontant (l’ancien site de l’entreprise à Paris) ce n’est pas possible ! Alors toute la nouvelle production est relocalisée à Pantin dans un premier local industriel avec le soutien de nombreux sous-traitants de la région et de la France entière. L’entreprise se dote de la capacité de faire un produit de A à Z, sans dépendre de « l’usine du monde » et rejoint à nouveau La French Fab, 30 ans après avoir délocalisé.

2016, Déjà 40 ans d’innovations
LOUPI est récompensé de la médaille d’honneur du concours Lépine pour marquer les 40 années de l’entreprise agile qui est née à ce concours et demeure en pleine forme a l’heure actuelle, la durée fait la preuve !

2018, Industrialisation
Toujours à Pantin, LOUPI s’installe dans une usine plus grande que la précédente et achète des machines automatisées pour la production en série des spots. La dimension industrielle se précise avec maintenant 40 employés qui forment une vraie équipe en perpétuant la tradition d’excellence avec les fidèles clients de l’entreprise qui sont pour beaucoup de la filière du Luxe.

2022, Nouveaux défis à relever
A ce jour, LOUPI s’est concentré sur sa nouvelle mission d’éclairage, l’offre est maintenant très large et la recherche des nouvelles solutions en lien avec le marché continue sans cesse.
Les nouveaux enjeux sont la qualité de la lumière, la durabilité, la réparabilité, l’efficacité énergétique, l’empreinte environnementale et la connectivité pour profiter pleinement du « Human Centric Lighting » ainsi que de la maîtrise de la température de couleur, le tout dans une ambiance
low tech, sacré challenge !

Cette connectivité permettant le contrôle, l’asservissement et le réglage des sources doit pouvoir être prise en main par tous. Il est question de simple tech, il s’agit de ne pas générer des fabrications de quantités de circuits inutiles entraînant des tonnes de matériel à recycler, des coûts de maintenance et de mises à jour. La technologie de bon sens, facile d’accès simple et naturelle, réparable et durable, nous en avons besoin, c’est une évidence.

 

Demain
Je vois dans l’avenir des luminaires bienveillants qui soignent, des lumières de bien être ajustées aux saisons, au cycle circadien et à notre humeur pour vivre dans un environnement qui favorise la bonne santé et l’accomplissement des humains.

L’aventure continue, que le Gallium soit avec vous !

Fabien Poutignat, Président-Fondateur